Web et Nadine Rishton organisent un webinar sur les formes de monts de Dheune et le public est invité à discuter. La facturation se fait par Gentner. Concernant la Covid, les sommes nationales rayonnent et dépassent les autres canaux généraux. Une fête se déroule sous le regard du Dr. Gerard Soeteman à Fun Radio et à la télévision, avec une programmation bouffonne qui semble empirer. Clerc est laissé avec un vide pour trouver une solution.
Je suis bien conscient du risque minime dans ces zones et de votre fascination pour la forme au guidon. Je vous prie de bien débuter en nous communiquant votre opinion sur la vaccination. Nous avons préparé un petit sondage où nous vous demandons simplement de dire si vous voulez vous faire vacciner ou non. Nous tendons vers la vaccination au compte-gouttes.
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33 % doivent encore réfléchir, et 5 % disent non. Voilà ça pour commencer. On a décidé de rallonger, en quelque sorte, notre va-binaire. On avait prévu une heure, mais on a déjà, avant ce soir, eu tellement de questions qu’on ne va pas débattre mais discuter et répondre pendant quatre-vingt-dix minutes. On a départagé les questions et on va joindre les questions que vous allez poser à ces questions-là, dont le différant dans différentes sauces, sujet dans différentes rubriques. Je commence directement par la première rubrique. Je vous prie, si vous avez des questions concernant ce sujet dans la composition du vaccin et des questions relatives aux spécificités de ce vaccin, c’est notre premier sujet, et c’est à moi, la première question à Dr. Chante-Mail Kalt.
Le vaccin qui sera disponible au Luxembourg et pourquoi le choix pour ce vaccin qu’on a fait. Donc, le premier vaccin est celui de Pfizer et BioNTech, et le deuxième, il y a demain l’agence européenne du médicament qui devrait se prononcer là-dessus, ce sera celui de la firme américaine Moderna, et puis à terme, on espère aussi avoir un troisième vaccin qui sera alors très probablement celui de AstraZeneca en collaboration avec l’université d’Oxford. Pourquoi ce type de vaccin ARN messager ? Bon, il y a plusieurs bonnes raisons. D’abord, la conception est très simple. Du moment que la séquence du virus a été publiée le 11 janvier, en fait, il fallait deux jours à la firme américaine Moderna pour concevoir leur vaccin. Donc, ça c’est plutôt rapide. La production est aussi très facile pour ce type de vaccin parce qu’on n’a pas besoin de virus. Ce n’est pas comme s’il fallait inactiver un virus à coronavirus avec plein de précautions à prendre. Non, il n’y a pas de virus, donc il n’y a pas de cellules de culture cellulaire. Par contre, c’est simplement par synthèse que ce vaccin est produit en plus. Il ne faut pas beaucoup de vaccins normalement pour un médicament en comptons mg ou en g ici, on compte en microgrammes. Donc, avec une quantité très faible, déjà, on veut vacciner une personne parmi les avantages. Il faut savoir que le type d’immunité de réponse immunitaire que ce vaccin a rense la SAGE est capable d’induire. D’un côté, la production d’anticorps en général et en moyenne, on trouve plus d’anticorps, des titres, antibodies, en plus élevés chez les personnes qui ont été vaccinées que chez les personnes qui ont eu un contact avec les moyens et d’autres côtés, d’un autre côté, il y a là l’immunité cellulaire qui est tout aussi importante que les anticorps pour avoir une bonne réponse immunitaire et c’est ces deux ensembles qui explique cette efficacité de rêve dont les études cliniques en tout cas de 95 %.
Vous avez parlé d’études cliniques. En fait, il y a beaucoup de questions qui nous ont été adressées dans ce contexte, dans lequel sont les tests qui sont effectués sur un vaccin avant qu’ils soient mis sur le marché, avant que les personnes soient vaccinées. Oui, donc la première série de tests sont des tests animaux, donc on n’a pas le droit de tester un vaccin sur une personne humaine avant qu’il n’y ait pas une série de tests animaux chez différents animaux, animaux comme la souris, animaux comme leurs animaux après, comme les macaques rhésus, ensuite il y a les différentes phases cliniques, commençant par la phase une, ensuite la phase deux, et la phase trois. Donc, les phases cliniques deviennent de plus en plus grande. En phase une, c’est relativement petit. En phase deux, déjà, plus grande, et puis la phase trois, si on prend par exemple la phase trois du vaccin de Pfizer-BioNTech, il y avait quarante-quatre mille personnes qui étaient enrôlées, dont la moitié a reçu le vaccin, si on prend celui de la phase trois du vaccin Moderna, il y avait trente mille participants dont la moitié ont reçu le vaccin.
Tant que il y a les phases habituels ou la phase zéro. Donc, animaux, la phase une, deux, trois
La fabrication lors de la production est essentielle pour s’assurer que le goût est conforme à la norme. Les standards doivent être respectés et le processus maîtrisé. Il y a d’autres effets secondaires possibles lors de la vaccination, une décision prise par les gouvernements nationaux et les agences de médicaments qui donnent des recommandations suivies par les gouvernements locaux.
Il est important de noter que cette approbation est conditionnelle, ce qui signifie que les fabricants doivent fournir des données supplémentaires au fur et à mesure que les études progressent. La responsabilité nationale entre donc en jeu, englobant une question plus globale. L’Agence américaine des médicaments a établi des conditions strictes pour l’approbation conditionnelle des vaccins, notamment l’exigence que la moitié des participants dans l’étude soient suivis pendant au moins deux mois après la deuxième dose, car c’est à ce moment que la plupart des réactions se manifestent.
En Europe, l’Agence européenne des médicaments a accordé 30 approbations conditionnelles entre 2006 et 2016, sans révocation. Cela montre que ces approbations n’ont pas introduit de dangers inattendus ou de problèmes incontrôlables. En Suisse et en France, la vaccination suit un protocole strict similaire à celui de la grippe, avec une surveillance continue des effets secondaires.
Pour les personnes sous chimiothérapie, l’immunosuppression peut affaiblir la réponse au vaccin. Dans ces cas, il est recommandé d’attendre la fin de la chimiothérapie pour permettre à l’immunité de se rétablir avant de se faire vacciner, si possible. Pour ceux dont l’immunosuppression est permanente, le vaccin est une option à considérer, bien que son efficacité puisse être réduite.
Les personnes atteintes de maladies auto-immunes, traitées par des immunosuppresseurs, sont également confrontées à des défis similaires. Le vaccin peut être moins efficace chez ces individus, mais il peut quand même offrir une protection contre les formes graves de la maladie.
Les personnes prenant des anticoagulants peuvent se faire vacciner en toute sécurité en signalant leur médication au personnel de vaccination pour minimiser les risques de saignement ou d’ecchymoses. De même, les personnes diabétiques ou celles atteintes de maladies cardiovasculaires devraient se faire vacciner, car elles sont particulièrement à risque de développer des formes graves de la maladie.
Concernant les personnes avec des antécédents de maladie de Kawasaki ou traitées par corticoïdes, il est conseillé de vérifier avec leur médecin pour déterminer le bon timing pour la vaccination afin d’éviter les interférences avec le traitement en cours.
Les personnes transplantées, souvent sous immunosuppresseurs, peuvent également se faire vacciner, bien que la réponse immunitaire puisse être limitée. Cependant, elles sont à risque accru de complications graves en cas d’infection, justifiant la vaccination malgré une réponse immunitaire potentiellement diminuée.
En ce qui concerne les personnes ayant des anticorps suite à une infection antérieure, il est important de noter que la qualité et la quantité des anticorps varient d’une personne à l’autre. Le vaccin peut offrir une protection supplémentaire ou renforcer l’immunité existante, mais ce n’est pas garanti pour tous.
Pour la question du port du masque et de la distanciation sociale après la vaccination, il est crucial de maintenir ces mesures à court terme, car le vaccin ne protège pas à 100% contre la transmission. En outre, la transmission asymptomatique est toujours possible, même chez les personnes vaccinées, donc la prudence reste de mise, surtout en présence de personnes non vaccinées ou à risque.
En conclusion, bien que la vaccination soit recommandée dans la plupart des cas, chaque situation individuelle doit être évaluée en fonction des risques spécifiques et des recommandations médicales. La surveillance continue des effets secondaires et l’adaptation des recommandations en fonction des nouvelles données restent essentielles pour assurer la sécurité et l’efficacité des programmes de vaccination.
Il semble probable que le vaccin recommandé pour les femmes enceintes profitera principalement au nouveau-né. En effet, si une femme enceinte développe des anticorps, elle les transmettra à son bébé, assurant ainsi sa protection dès la naissance. Cette recommandation n’est pas encore officielle, mais elle est envisagée comme un scénario réaliste pour l’avenir.
En ce qui concerne le choix du vaccin, actuellement, il y a principalement un seul vaccin disponible. À l’avenir, avec l’arrivée de nouveaux vaccins comme celui de Moderna et d’AstraZeneca, il est possible que les options augmentent. Cependant, au début, il est peu probable que le choix soit très large en raison de la complexité logistique que cela impliquerait.
En ce qui concerne la procédure de vaccination, il est recommandé de porter un masque facial avant le rendez-vous et de remplir un questionnaire médical. Si une personne souffre d’une maladie aiguë avec fièvre élevée, il est conseillé d’attendre avant de se faire vacciner. De même, en cas de fausse couche récente, il est préférable d’attendre que la santé se stabilise avant de recevoir le vaccin.
Quant à la durée de l’immunité offerte par les vaccins, des études montrent que les anticorps produits après la vaccination avec Moderna peuvent être maintenus pendant au moins trois mois. Contrairement aux infections naturelles par le coronavirus, où l’immunité peut diminuer rapidement, les vaccins semblent offrir une immunité plus stable et prévisible sur le long terme.
Concernant la vaccination de masse pour atteindre l’immunité collective, il est souvent cité qu’environ 70 % de la population doit être vaccinée. C’est un objectif réaliste pour réduire la propagation du virus dans une société.
Enfin, en ce qui concerne l’ordre de priorité pour la vaccination, il est crucial de commencer par les personnes les plus vulnérables et celles qui sont en contact direct avec des patients, comme le personnel soignant. Ensuite, il est logique de vacciner les personnes âgées et celles de plus de 65 ans, avant d’élargir progressivement la vaccination à l’ensemble de la population.
Ces démarches visent à assurer une distribution efficace et équitable des vaccins tout en maximisant les bénéfices pour la santé publique.