Bonjour, je peux enlever les timestamps et reformuler le texte pour le rendre fluide et sans interruptions. Voici la version continue :
Bonsoir, merci. D’origine, le Groupe Nobunaga de Loctudy.
En novembre, un binaire public a non plus tous les choix de nos vingt-dix votes. La rhumatologie en place, c’est un défi. Mode sociaux, augmente ou non, en conférence publique du maire, vous êtes présentiel à Dubaï, Viêt ou Mac OS, vite obligé de nos vêtements d’un fouet. La vie n’existe dans ce modèle démocrate ou d’un iPhone de collateral positive. Their fund again ça prend des Midwest ham agriates, une vingtaine à une technologie un doute souffrir non d’attendre. Fait que je filmais jusqu’à une aiguë Mire, une de nos veines, suivre notre site light is you, came to feed Aubette Silva d’une grosse ou chiffres à ce défi zone choix des sujets, font de nouveau des traces et en chauffant d’Armor.
Vous me permettez de continuer en français parce que nous avons une population multilingue. Comme toujours ce soir, avec beaucoup de francophones et germanophones et beaucoup de Luxembourgeois, nous allons d’ailleurs faire des présentations dans les différentes langues. Donc un chacun des présentateurs va parler dans la langue qui lui convient le mieux le sujet choisi de ce soir est celui des douleurs on ne parle pas en rhumatologie de la douleur mais plutôt des douleurs parce que nous sommes confrontés à des types très différents si fier de douleur on va vous parler ce soir de douleurs inflammatoires de douleurs mécaniques et nous allons nous focaliser sur tout sur les problèmes des douleurs chroniques en consultation de tous les jours nous voyons plus ou moins huit patients sur 10 pour des plaintes douloureuse et nous nous sommes bien conscients du fait que ce sont des problèmes multifacettes air et notre prise en charge est une prise en charge multidisciplinaire raison pour laquelle ce soir aussi les présentations sont vraiment multidisciplinaires comme vous allez le voir alors le choix de ce soir ses douleurs et état psychologique ou état psychologique et douleurs chroniques qui mène la danse pourquoi parce que nous rendons nous compte que bien entendu les douleurs influence notre être notre situation psychologique et notre situation d’équilibre interne et externe et vice versa l’état psychologique a une influence très forte aussi sur le vécu des douleurs et influence notablement aussi la façon dont les thérapies que nous allons pouvoir proposer vente agir pour vous faire le tour d’horizon ce soir juste quelques informations en cours pratiques vous avez la possibilité de poser des questions ce soir par les questionnaires qu un deuil qui est affiché sur votre écran nous allons faire le tri et pour essayer de répondre aux puces et de nos possibilités à toutes ces questions enfin de toutes les présentations donc les présentations vont se faire tout de suite l’une après l’autre et c’est en fin de présentation qu’on reviendra sur vos questions dernier élément très important pratique vous avez la possibilité de répondre à un questionnaire après la présentation pour nous donner un petit peu votre recueil de critiques de points positifs ce qui nous permettra aussi en cas des critiques négatives d’améliorer notre présentation et une future fois de modifier un petit peu la façon de faire si c’est nécessaire voilà on va rentrer dans le vif du sujet et je vais vous introduire progressivement les orateurs qui vont venir on va commencer par vous parler d’abord des douleurs inflammatoires au niveau rhumatologiques on va parler des douleurs mécaniques se sont en deux présentations faites par des rhumatologues on passera ensuite sur la présentation de nos infirmières référente pourquoi nous faisons du travail d’équipé et la proche des soignants est extrêmement importante dans ces pathologies chroniques et vous aurez une présentation sur la vision surtout dans les problèmes chroniques plutôt mécanique de notre clinique du dos et puis sur la vision dont les problèmes plutôt inflammatoires dans notre département dimino rima théologie va suivre une présentation d’une algologue sur la prise en charge de la chronicité des douleurs ou des douleurs chroniques 6 est ensuite suivi par une psychologue qui va nous parler de son approche et surtout de la résilience va vous expliquer ce que ça veut dire comme terminologie et nous allons clôturer sur une chose qui est peut-être pas très connue mais c’est l’application et la place de l’hypnose dans le traitement de la douleur par après comme je vous ai dit ce sera les questions et puis l’évaluation voilà on va tout de suite rentrer dans le vif du sujet avec la première présentation je vous ai introduit le docteur Nathalie Guichard qui est rhumatologue aux hôpitaux Robert Schuman qui travaille en cabinet de rhumatologie avec le docteur Tricky et moi-même et elle va vous parler des douleurs inflammatoires en rhumatologie tantaoui chef Marc bonjour à tous donc je vais vous parler de la douleur dans les rhumatismes inflammatoires plus communément appelée arthrite donc un rhumatisme inflammatoire ou arthrite qu’est ce que c’est donc l’arthrite c’est une maladie qui entraîne une inflammation des articulations qui se manifeste par des douleurs et dans certains cas des gonflements des articulations donc les douleurs elles apparaissent parfois rapidement parfois en quelques semaines par opposition on à l’arthrose ça c’est l’usure des articulations donc ça c’est des douleurs qui apparaissent progressivement en fait avec le vieillissement alors quand quand faut-il penser un rhumatisme inflammatoire c’est-à-dire de l’arthrite dans la stricte il s’agit de douleurs nocturnes présente dès le réveil avant leur avant le lever souvent avec une raideur matinale prolongée et les douleurs s’améliorent lors de la mobilisation alors que dans les douleurs mécaniques de l’arthrose on a des douleurs qui s’aggravent au fur et à mesure de la journée la raideur matinale est courte et les douleurs s’accentuent avec la mobilisation et s’améliorent plus tôt au repos alors le premier type d’arthrite c’est la polyarthrite donc la polyarthrite elle peut toucher en fait tous les âges aussi bien les enfants que les personnes âgées elle touche quand même 0 5% de la population dans la polyarthrite comme son nom l’indique il ya plusieurs articulations qui sont enflammés et l’inflammation peut conduire à des destructions articulaires et des déformations à l’absence de traitement heureusement de plus en plus rares avec l’amélioration des traitements le diagnostic se fait le plus souvent à un examen clinique qui ont fait une prise de sang avec d une recherche des anticorps de la maladie et des radios des articulations pour voir s’il ya destruction articulaire alors le deuxième type d’arthrite c’est la spondylarthrite donc ça c’est cette forme d’arthrite sa touche surtout l’homme jeunes c’est-à-dire les douleurs commence presque toujours avant 40 ans elle touche aussi à peu près 0 5% de la population et donc en fait les douleurs elles sont présentes au niveau de la colonne la nuit avec des réveils nocturnes ça c’est quand même pas normal si on se réveille la nuit avec avec des douleurs le diagnostic il est fait par une irm de la colonne et du bassin qui permet de mettre en évidence de l’inflammation alors il y à aussi la pseudo polyarthrite ça c’est un rhumatisme qui touche les personnes de plus de 60 ans et qu’il est à relativement fréquents donc c’est aussi 0 5% de la population après 50 ans mais jusqu’à 2% des personnes de plus de 65 ans alors dans les livres ont décrit ce rhumatisme en disant que la personne a l’impression d’être devenue un petit vieux en quelques semaines donc vraiment les douleurs apparaissent assez rapidement et la perception l’état général de la personne change rapidement avec des douleurs aussi un somian tu au niveau des ceintures surtout les épaules les hanches avec une sensation de raideurs généralisées ce qu’il faut faire quand on développe ces symptômes c’est une prise de sang car en fait celle ci elle montrera toujours de l’inflammation contrairement à l’arthrose qui touche aussi les gens de cet âge là mais où il y aura jamais d’inflammation la prise de sang alors qu’est-ce qu’on peut faire comme traitement pour ses rhumatismes inflammatoires bien évidemment on utilise des médicaments qui agissent sur les voies responsables de l’inflammation ils permettent de diminuer l’inflammation des articulations et aussi donc les douleurs qui sont liés on fait parfois
Elizabeth, vous avez bien compris qu’en tant que rhumatologue, changer un médicament pour un autre pour la douleur n’est pas la solution finale. C’est une approche beaucoup plus complexe, notamment dans des domaines comme celui de notre clinique du dos. Nous avons mis en place un suivi pluridisciplinaire de nos patients, car une approche simpliste comme une thérapie rhumatologique seule ne suffit pas dans la majorité des cas.
Maintenant, nous allons aborder l’aspect plutôt psychologique. J’ai le plaisir d’annoncer le Dr Pascal Hens, psychologue et psychothérapeute, qui va nous parler de la gestion de la douleur chronique et de la résilience psychologique.
Pascal, bon pour tout le monde. À l’ADOMA, je serai de vous présenter un peu le concept de la résilience psychologique et de voir comment cette résilience peut intervenir dans l’expérience de la douleur chronique et plus activement aussi dans sa gestion.
Pour commencer, quelques mots sur l’expérience de la douleur d’un point de vue psychologique. Je vais passer peut-être un peu plus rapidement, car je pense que les collègues précédents ont déjà bien établi cette observation. L’expérience de la douleur n’est pas forcément toujours liée au tableau clinique. On peut avoir des personnes qui sont objectivement plus atteintes mais qui témoignent d’un niveau de souffrance ou d’une capacité moindre qu’une personne objectivement moins atteinte.
Ainsi, une prise en charge de haut niveau doit interroger ce qui crée ces différences. Qu’est-ce qui fait qu’une personne semble mieux gérer la douleur qu’une autre ? Au niveau psychologique, on peut identifier deux facteurs clés qui influencent négativement cette expérience de la douleur, comme déjà mentionné : le catastrophisme, les pensées négatives et la dépression.
Le catastrophisme se traduit par une tendance à penser toujours au pire, à se construire des scénarios noirs, à perdre confiance en soi et à se sentir impuissant face à la gestion de la douleur. Quant à la dépression, c’est un trouble de l’humeur caractérisé par un manque prolongé d’intérêt ou de plaisir pour les activités quotidiennes, souvent accompagné d’une diminution de l’estime de soi et un sentiment de désespoir.
Ces phénomènes n’influencent pas seulement la douleur en soi mais aussi l’expérience qu’on en a. Illustrant cela, un tableau issu d’une revue de littérature systématique montre les effets du catastrophisme et de la dépression dans différentes pathologies rhumatologiques. Par exemple, le catastrophisme peut entraîner une diminution de la probabilité de retour au travail et une diminution de la mobilité, tandis que la dépression peut influencer négativement la réhabilitation post-opératoire et l’évaluation de l’efficacité des médications opioïdes face à la douleur chronique.
Ces influences se manifestent à différents niveaux : émotionnel, comportemental, cognitif et même physiologique, comme démontré par des études en IRM fonctionnelle montrant une augmentation de l’activité dans certaines régions cérébrales impliquées dans la gestion de la douleur.
Tous ces processus et mécanismes sont modulables. C’est là que la résilience psychologique entre en jeu. La résilience psychologique peut influencer ces circuits et permettre de développer ses propres capacités de résilience psychologique. Concrètement, cela signifie la capacité d’un individu à s’adapter et à se reconstruire après un traumatisme, en dépit de l’adversité.
Pour développer cette résilience psychologique, il est crucial d’identifier et de comprendre nos émotions, et comment elles influencent nos comportements. Par exemple, face à la douleur, nos émotions peuvent influencer notre jugement et notre comportement. Une évaluation bienveillante de soi-même peut mener à des stratégies plus adaptatives, comme la recherche de solutions pour mieux gérer les symptômes.
Un autre aspect important est la gestion de la tension. Le proverbe « qui cherche, trouve » illustre bien le fonctionnement de notre cerveau. Si nous nous concentrons constamment sur la douleur, nous risquons de l’amplifier. Le travail psychologique vise à identifier et à changer ces schémas cognitifs pour réduire l’impact négatif de nos jugements sur notre expérience de la douleur.
En outre, l’importance du réseau social et de la communication ne doit pas être sous-estimée. La façon dont nous communiquons notre douleur à notre entourage, y compris la famille, les amis et l’équipe soignante, influence également notre expérience. Construire une boîte à outils psychologique personnelle, en développant des compétences comme la relaxation, la pleine conscience et même l’humour, peut nous aider à relativiser et à nuancer nos expériences douloureuses.
En conclusion, la résilience psychologique et les techniques comme l’hypnose offrent des perspectives prometteuses pour la gestion de la douleur chronique. Toutefois, il est essentiel que ces approches soient intégrées de manière complémentaire dans les parcours de soins, en collaboration avec les professionnels de santé.